VILLERS BRETONNEUX – LONGUEIL
Résumé « parske2nifélagueulsinon »

« Le bon, la brute et le truand », « Les Daltons, contre « Les 7 mercenaires »

Après le nul, très nul, contre nos amis puncheurs d’abbeville, le duel contre les 7 mercenaires (pour rester dans le contexte et non pour citer les joueurs de MERS…et parce que leur président les accompagnait et a même arbitré et parce que les 6 mercenaires ça n’existe pas !!!) de longueil devenait crucial. Mise au point au saloon la veille à 20h (EUH…moi j’y étais aussi les 5 jours précédents…ceci expliquera cela !), Aurélien malade comme une bête avec 40 de fièvre, Julien ostéo-patte bloqué du dos, et Moi-même à genoux depuis 2 jours à vérifier chacun de mes repas (TRES PORC …).
Le scénario « spaghetti » tourna tout de suite à notre avantage. A peine avons-nous entendu quelques salves de balles sifflaient à nos oreilles. Les duels Cahagne-Legrand et Gonéra-Triart se terminant en victoire surprise pour villers, les débats furent vite, trop vite clos. Victoire 14-6 sans trembler.

Les cowboys bretonvillois:

Le BON : on l’a à peine entendu chiquer. Fiévreux donc calme, Aurélien exécuta ses adversaires de sang froid grâce à son colt en coup droit. Les ayatollahs du cinéma lui reprocheront l’anachronisme de la mitraillette en revers. ” Le monde se divise en deux catégories : Ceux qui ont le pistolet chargés, et ceux qui creusent. Toi tu creuses ”

La BRUTE : don Patator, venu du Mexique pour salement amocher les pov’mecs de longueil (il a cru hélas pour eux qu’ils venaient de longueau…), il se transforma vite en Mariachi de Desperado, « He came back to settle the score with someone. Anyone. EVERYONE. » Fusil à pompe, bazooka, lance roquettes (et sans salade SVP) en coup droit, opinel et étoiles de ninja en revers…une boucherie. « When the smoke clears, it just means he’s reloading. ». Toujours invaincu, le restera certainement s’il ne dégaine qu’en B.

Le TRUAND: arrivé sans armes chargées, et sans rien dans le ventre (rien qui pouvait y rester en tout cas), j’ai passé mon temps à éviter les tirs de mes 3 vaillants adversaires, ne sortant qu’à quelques reprises mon petit pistolet de poche pour les blesser. Guillaume Roy a le coup de fusil lourd mais n’a pas encore réglé la mire. Cédric Legrand m’a trop touché, m’a sérieusement blessé, mais n’a jamais percé ma grasse cuirasse… à deux doigts de me pendre « – Blondin, c’est une farce ?
- C’est pas une farce, c’est une corde ».J’ai du quitter l’échafaud en fin de 4ème set pour une enième prière gastronome aux wc du saloon (je menais 8-3 calmez de suite la polémique). Au retour la messe était dite… « Mais si tu manques la corde, ne manques pas le pendu. Celui qui me fait une entourloupette et me laisse la vie sauve, c’est qu’il a rien compris au Senor Tuco, non rien… Hahahaha ! » . Sur Michel Trochut, plus de balles….j’y suis allé à la batte de baseball, un peu sanglant, mais pour un truand c’était bon, d’être une brute !

William Dalton : après une première phase médiocre et 2 premières journées à se chercher, Stéphane s’est enfin trouvé. Il a touché en plein cœur dans tous les moments importants sur ces deux premiers matchs, contre Peter et Cyrille sans jamais s’exciter, ni paniquer. « Du calme, Joe, du calme ». Plus assez de jus pour conclure son dernier match. Bravo. S’il joue comme ça, nous finirons premier (je ne suis pas Perrin ou Chatelain moi, j’assume !!!).
Averell Dalton : « Le plus grand (6 Pieds et 4 Pouces), jeune et bête des Frères Dalton, bien qu’il ait parfois des éclairs de génie » Cela résume bien le jeu de Florent ces temps ci. Quand il met en route la mitrailleuse, plus grand-chose à faire en face, on se colle au mur, on fait sa prière et si on a du courage on le regarde dans les yeux, c’est la dernière chose qu’on voit…Mais sans qu’on comprenne pourquoi il stoppe l’éxécution ! « Quand est-ce qu’on mange ? Ma». Bat facilement Cédric en étant mené 2 sets 0, passe sans souci sur Guillaume et fais un calin à Rantanplan en prenant 3-0 sur Michel mi-truand Trochut(sur le plagiat virtuel de ma prière gastronome à 4-9 dans le 3ème set, là on peut polémiquer par contre !). Le niveau est là, ça fait du bien quand même !
Joe Dalton : « Le plus âgé, petit (5 Pieds de haut), méchant et (relativement) intelligent. » Seb a passé sa journée à chercher la bonne arme, et ne l’a effectivement trouvé que contre Cédric en prenant la raquette de Florent. Un peu énervé, « Je hais Lucky Luke ! Je hais Lucky Luke ! Je le hais !!!», nous a rassuré sur son dernier match, en étant à deux doigts d’emmener l’ex invaincu de la hérain à la belle.

Bilan : « Tenez, buvez une goutte de ça, et ouvrez bien grande vos oreilles, on va faire un peu de pétards. »
Le bon, la brute et le truand.

En A : Sébastien Malrain : 3D
Florent Cahagne : 2V+Double, 1D sur Michel Trochut
Sébastien Perpette : 3V +Double
EN B : Julien Patte : 3V
Stéphane Gonéra : 2V + 1D sur Cyrille Legris
Aurélien Hermant : 3V